• Le leprechaun est une petite créature féerique mâle du folkore irlandais, qui peut être comparé au lutin du folklore français. Il est devenu plus tard un personnage de fiction.

    Le leprechaun dans le folklore

    Les Leprechauns sont le plus souvent représentés fabriquant et astiquant une chaussure. La légende dit qu'ils cacheraient des chaudrons d'or. Avant le XXe siècle et la récupération des mythes à des fins commerciales, les Leprechauns étaient représentés vêtus de rouge au lieu du costume vert dont ils ont été attifés, surtout aux USA.


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  • Dans la mytholgie irlandaise, le fir darrig, far darrig ou dans l'orthographe irlandaise fear dearg (prononcer [ɸaɾ ˈdʲaɾəgˠ]), est décrit comme un lutin tantôt gigantesque, tantôt minuscule. On dit de lui qu'il a tendance à forcer les habitants d'une maison à l'accueillir chez eux, et à lui réserver la meilleur place, au coin du feu. Par la suite, il prendra ses aises, allant même jusqu'à faire sécher ses vêtements répugnants imprégnés de son horrible odeur au dessus de l'âtre. Si les habitants de la chaumière n'obtempèrent pas, on dit que le fir darrig leur jouera toute sorte de tours et les harcèlera sans répit.

    D'après une autre version, ces lutins vivraient dans les chalets, entre le plafond et la chaume. Leur rôle serait la plupart du temps de jouer de mauvais tours aux habitants, mais aussi, en cas de danger, de les protéger.

    Physiquement, ce lutin est semblable à ses cousins, les leprechaunes et les cluricaunes, si ce n'est qu'il s'habille souvent de rouge (Fear Dearg signifie en irlandais et en gaélique d'Écosse "Homme rouge").

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  • Les Cluricaunes sont des esprits d'Irlande, apparaissant sous les traits de minuscules vieux bonshommes haut de six pouces, soit quinze centimètres. Ils sont vêtus d'un long manteau rouge aux pans attachés par une grosse boucle d'argent, sont chaussés de bas bleus et de souliers à boucle et hauts talons, et sont coiffés d'un bonnet de nuit rouge. Ils sont cousins des leprechauns, mais autant ces derniers sont revêches et travailleurs, autant les cluricaunes sont gais et insouciants.
    Contrairement ausx riches leprechauns, les cluricaunes n'ont pas le sou, mais ils se rattrapent en battant leur propre argent, qui na pas cours chez les humains, ou il est considéré avec mépris comme de la fausse monnaie. On entend parfois les collines retentir du bruit de leurs manteaux frappant de fausses pièces.
    Portés sur la bouteille, le curicaunes ont peu à peu déserté leurs collines pour hanter les caves et les celliers des humains, dont ils se plaisent à boire les bouteilles; ils élisent de préférence domicile chez les buveurs notoires aux caves bien garnies. Ils sot particulièrement redoutés dans les pubs ou ils mettent à sec en un rien de temps les fûts de guiness ou de Kilkenny, notamment les soirs de saint patrick.
    On dit aussi que ces nains sont à l'origine de la recette de l'authentique whiskey irlandais distillés trois fois, contre deux distillations seulement pour le whiskey écossais. Les cluricaunes demandèrent l'autorisation aux résidents de résider une parite du temps dans leur caves et leurs celliers en échange de quoi ils leur confieraient un trésor.

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  • Le "farceur de nuit" est un lutin breton qui se livre à milles facéties durant les "festnoz", les fêtes de nuit. Il apparait également dans les carrefours, ou il se métamorphose et grandit démeusurément : sa taille grandit au fur et à mesure que l'on s'approche de son ombre. Le buzel-noz est toujours couvert d'un manteau blanc traînant à terre. On prétend qu'il ne se montre au voyageur anuité que quand celui-ci a besoin de secours contre les entreprises du diable. Il s'empare alors de l'homme ainsi exposé, et l'enveloppe dans son manteau qui sauve de tout danger. Le diable, perdant son pouvoir à l'aspect du buzel-noz, se sauve en faisant un bruit qui glace d'épouvante : on entend de loin ses hurlements de rage que répètent les échos, et le fracas affreux des roues de son char qui vole comme un trait en sillonnant l'espace d'une lueur effrayante et d'une vapeur.

    http://unpeudebonheur.u.n.pic.centerblog.net/l7jqk0zz.jpg


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  • Les boggarts (ou bwcas, bogan, bogle, boggle) sont issus de la mythologie britannique. Ils y sont décrit comme des nains hideux, velus et malveillants. On raconte souvent d'eux qu'ils hantent les landes et dévastent les chaumières sans raison valable, dans l'unique but de nuire. Il existe une version plus nuancée, présentée par jaques premier d'angletter dans son traité de démonologie, publié à londres en 1597. Il parle ainsi d'un "homme hirsute qui hante diverses maison sans y faire aucun mal, mais [se] comporte parfois comme s'il était nécessaire de mettre la maison sens dessus dessous". Pour s'en débarrasser, on disait qu'il fallait soit appeler un exorciste, soit deviner son nom qu'il gardait secret.http://usuarios.lycos.es/nubeazul8/hpbimg/bogles.jpg

    edouard brasey prétend que le boggart serait dans l'imaginaire anglais le cousin dégénéré du brownies, un esprit servant britannique. En effet, il existe des légendes ou le boggart est décrit comme un esprit domestique attaché à une famille, mais à la différence de ses "cousins", il ne rend aucun service et joue des tours aux habitants, allant même jusqu'à les voler. Il peut suivre sa famille ou qu'elle aille dans le but de la harceler. On suspendait parfois un fer à cheval devant les portes des maisons pour éloigner les boggarts. Dans le folklore du nord-ouest de l'Angleterre, les boggarts vivent sous les ponts, et cela porte malheur de ne pas les saluer si on les croise.



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